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Comme, ils l’ont promis, les séparatistes des zones anglophones du Cameroun ont perturbé le scrutin. L’AFP a fait état de la mort de trois séparatistes présumés, tué par les forces de l’ordre.
Des actes de violences ont également été notés à Buea, dans le Sud-Ouest, une des deux régions anglophones.
La veille, un tribunal a été incendié à Bamenda par "des hommes armés".
Au cours d’une interview qu’il a accordée à la DW, Ivo Kuka, l’un des leaders séparatistes, a déclaré que ce scrutin est un non-événement.
Écoutez son interview en cliquant sur la photo en haut.