Le 30 août, c’est la journée internationale des victimes de disparitions forcées. En Libye, depuis la guerre qui a chassé le colonel Khadafi du pouvoir, les Noirs africains immigrés sont particulièrement victimes.
Cette journée a été instituée en 2011 par les Nations unies, suite à la multiplication dans diverses régions du monde du nombre de disparitions forcées ou involontaires, d'arrestations, de détentions et d'enlèvements. Ecoutez ci-dessous, Maliki Amadou, il est le responsable du bureau de l’Organisation internationale des Migrations, OIM, à Zinder, au Niger. Il prend en charge plusieurs des retournés de la Libye, et il témoigne des cas de disparitions forcées qui lui ont été rapportées.