Le gouvernement rwandais decide de libérer provisoirement 36.000 détenus dont la plupart sont présumés coupables de génocide. Ecoutez la réaction de Madame Auréa Kayiganwa, secrétaire exécutive de Avega-Agahozo, l'Association des veuves du génocide. Elle répond à Emmanuel Rushingabigwi