Les djihadistes sont de plus en plus présents sur les réseaux sociaux, notamment WhatsApp où ils publient des vidéos de propagande pour recruter de nouveaux combattants. Pour Julie Owono, directrice exécutive de l’ONG Internet Sans Frontières, les gouvernements de la région devraient utiliser ces mêmes armes et se servir des média sociaux pour contrer la propagande djihadiste.