Johanna Spalink-Sievers en questions-réponses
25 mai 2010Nom : Johanna Spalink-Sievers
Âge :
56 ansLieu de naissance :
Oldenbourg/Basse-SaxeSituation de famille :
mariéeEnfants : quatre
Profession :
architecte paysagisteFormation scolaire/universitaire :
baccalauréat, diplôme d’architectureComment démarre votre journée ?
Mon mari et moi buvons une tasse de thé au lit en lisant le journal. Ensuite, nous prenons tranquillement le petit-déjeuner avec notre fils. Quand j’ai le temps, j’aime bien aller faire une promenade avec mon mari avant d’aller travailler.Qu’est-ce qui est pour vous « typiquement allemand » ? La ponctualité, la fiabilité, l’ordre, mais aussi un certain manque d’humour
Qu’est-ce qui vous caractérise le mieux ?
J’essaie de traverser la vie de manière la plus droite, sans courber l’échine. J’aime ma famille, mon métier et j’ai un rire très fort…Votre plus grande qualité :
prendre mon destin moi-même en mainVotre plus grand défaut :
je suis trop bonne pour ce mondeQuelle est votre activité/loisir préféré(e) ?
J’aime être à la maison, ranger et faire des puzzles. Je fais la cuisine, de la photo, j’aime les promenades, le vélo, la natation, la lecture, j’écris des mails ou des lettres, je chante dans une chorale, je m’occupe du jardin et de mes plantes en pot, je vois des amis ou des voisins.Quel est votre plat préféré ?
La soupe de mariageQuel genre de musique écoutez-vous ?
Gianmaria Testa, Barbara Streisand, Norah Johns et Bach, du classiquePour quoi aimeriez-vous avoir plus de temps ? Pour tout, mais surtout pour mon mari et mes petits-enfants, et pour voyager. J’aimerais aussi apprendre à faire de l’aquarelle. Et j’aimerais avoir plus de temps pour lire.
Quand vous pensez à l’avenir...
J’ai un petit peu peur qu’il arrive quelque chose à quelqu’un de ma famille. Sinon, je suis plutôt de nature optimiste…Votre devise ?
J’en ai deux : « La vie est belle, mais chère. On peut l’avoir moins chère – mais ce n’est pas aussi beau » (un peu décadent, mais je l’ai héritée de ma mère donc ça lui confère une certaine légitimité je trouve). La deuxième : « Il faut soi-même tendre la main vers l’étoile, elle ne tombera pas toute seule ». Ce n’est pas seulement une devise, cela correspond aussi à mon expérience.