La culture de l'ananas, encore importante en Côte d'Ivoire, fait face à une chute de ses revenus ce qui a déjà poussé plusieurs producteurs à jeter l'éponge pour planter des parcelles de palmier à huile et d’hévéa. Mais Bonoua, la capitale de l’ananas, renaît après douze ans de crise grâce à un projet visant à industrialiser la filière.