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Sauver la mer Baltique

14 octobre 2010

La Baltique menacée d'asphyxie : Peu profonde et très fréquentée, elle doit faire face à divers maux comme les algues vertes mais aussi les mines et les armes chimiques issus des deux guerres mondiales...

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La Baltique envahie d'algues vertes causées par les engrais agricoles.Image : picture-alliance/dpa
StralsundARCHIV - Algenteppiche schwimmen im Hafen von Stralsund an der Ostseeküste (Archivfoto vom 27.07.2008). Obwohl Fortschritte in der Klärtechnik in den vergangenen Jahren die Schadstoffbelastung in der Ostsee verringern halfen, bleibt das Binnenmeer insgesamt im Ökostress. Kernproblem bleibt die "Überdüngung" durch Rückstände aus der Landwirtschaft, deren Stickstoffverbindungen und Phosphate mehr Algenwachstum bedeuten. Foto: Stefan Sauer dpa/lmv (zu Korr.-Bericht "Patient Ostsee: Binnenmeer bleibt im Ökostress" vom 29.07.2009) +++(c) dpa - Bildfunk+++
Un tapis d'algues vertes menace le port de Stralsund sur la Baltique.Image : picture alliance/dpa

La mer Baltique est l’une des mers les plus fragiles du monde. Ces dernières années, les neuf pays riverains de cette mer intérieure européenne se mettent régulièrement à son chevet pour essayer de la sauver. En 2007, la commission d’Helsinki initiait un grand plan de sauvetage et en début d’année, les chefs d’Etat des pays riverains ont pris de nombreux engagements. Cet automne, c’est au tour de la Lituanie de remettre à nouveau le problème sur le tapis. Après consultation auprès du Conseil de l’Europe, ce pays balte devrait présenter d’ici la fin du mois une résolution à l’Onu pour réduire les risques dus à la présence d’armes chimiques dans les fonds marins. Etat des lieux de cette mer.

Europe des citoyens

Symbolbild Lissabon-Vertrag
Le Traité de Lisbonne qui doit améliorer la démocratie en EuropeImage : EC AV Service

"De toutes manières nous n'avons rien à dire..."une remarque désabusée que l'on entend souvent lorsque les Européens parlent de Bruxelles et de la politique européenne en général. Alors pour pallier ce manque de participation citoyenne, le traité de Lisbonne a prévu un nouvel instrument, l"initiative citoyenne“. Pour la première fois, les Européens pourront directement influer sur la législation et les décisions de la Commission. Reste à en définir les conditions. Cette initiative est-elle donc un simple gadget politique ou bien une véritable avancée démocratique, c'est la question que nous avons posée à Dominik Hierlemann, chercheur à la Fondation Bertelsmann.

Auteur: elisabeth cadot

Edition: Anne Le Touzé