9 % d’admis au baccalauréat 2012 au Tchad, 12 % au Mali, 25 % en Côte d’Ivoire. Pouvoirs publics, enseignants, parents et élèves, tous ont sans doute une part de responsabilité dans ces résultats catastrophiques.
Comment expliquer ces chiffres médiocres ? L’école africaine est-elle vraiment malade comme le soutiennent certains acteurs même de ce système éducatif ? L’arbre à palabre tente de répondre à ces interrogations.
Et nous sommes avec monsieur Siaka Traoré, secrétaire général du Synesci, le syndicat des enseignants du second degré de Côte d’Ivoire, monsieur Bernard Mumpasi Lututala, Secrétaire exécutif-adjoint du CODESRIA, le Conseil pour le développement de la recherche en sciences sociales en Afrique et monsieur Martin Itoua, président de la FAPE, la fédération africaine des parents d’élèves et étudiants.
L'arbre à palabre, c'est ci-dessous, présentation Georges Ibrahim Tounkara