Inga III n'avance pas | PROGRAMME | DW | 12.07.2017
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PROGRAMME

Inga III n'avance pas

Le mégabarrage hydroélectrique d'Inga III sur le fleuve Congo, en RDC, risque encore d'être repoussé. Explications avec la chercheure Agathe Maupin, du SAIIA // En Casamance, première région de production de noix de cajou au Sénégal, la filière, qui génère 30 milliards de Francs CFA selon le ministère du Commerce, doit être réorganisée. Les femmes espèrent que leurs droits seront mieux respectés.

Le mois dernier, Kinshasa a annoncé vouloir une offre unique de la part d'un consortium chinois et de son concurrent espagnol en lice pour le contrat de construction du mégabarrage hydroélectrique d'Inga III. Le gouvernement de la République démocratique du Congo avait pourtant annoncé vouloir désigner le "concessionnaire avant la fin de l'année 2016" pour un lancement des travaux en 2017. Comment en est-on arrivé là? L'histoire de ce barrage est longue - il existe deux centrales vieillissantes entrées en service entre 1972 et 1982 aux chutes d'Inga sur le fleuve Congo - et plusieurs projets de nouvelles installations ont été évoqués. L'actuel a été lancé en 2011, avec plusieurs partenariats. L'Afrique du sud s'est ainsi engagée à acheter la moitié de la production. Pourtant, les choses n'avancent pas. Le docteur Agathe Maupin, chercheure associée au laboratoire LAM, les Afriques dans le monde à Bordeaux, et au centre de recherches sud-africains SAIIA, nous en dit plus dans ce numéro!

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