Le Sommet Mondial sur la Société de l’Information qui s’est achevé Vendredi à Tunis, a remis en évidence le fossé qui sépare riches et pauvres au niveau de la maîtrise des nouvelles technologies. Un fonds a été créé l’année dernière pour tenter de réduire cette « fracture numérique », mais les contributions tardent à venir. Rien d’anormal estime Bouna Semou Diouf directeur du Bureau de la TICAD, la Troisième Conférence Internationale de Tokyo sur le Développement de l’Afrique. C’est une interview de Moncef Slimi.