Les Marocains aux urnes en novembre
16 août 2011Publicité
Parmi les réformes institutionnelles prévues, citons l'élargissement des libertés publiques, un renforcement des prérogatives du parlement et un plus grand rôle accordé au Premier ministre. Cela dit, le roi du Maroc demeure LA personne clef du système politique. Alors est-ce que l'annonce de ce scrutin est une bonne nouvelle pour les Marocains?
Ecoutez ci-dessous la réponse sceptique de Mehdi Lahlou, membre du bureau politique du Parti socialiste unifié, parti de l'opposition marocaine. Il explique, au micro de Sandrine Blanchard, en quoi les réformes annoncées ne sont que superficielles et pourquoi son mouvement appellera sans doute au boycott du scrutin.
Edition: Fréjus Quenum