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Les détournements d'aide humanitaire.

19 février 2009

A Munich, des escrocs se sont approprié le marché de la récupération de vêtements usagés.

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Ein Kleidersammelbehälter des Deutschen Roten Kreuzes (DRK) steht in Hildesheim vor ein Gebäude (Foto vom 15.11.2006). Foto: Peter Steffen dpa/lni +++(c) dpa - Report+++
Les containers à vêtements de la Croix Rouge allemande ont de la concurrence.Image : picture-alliance/ dpa

En Allemagne, il existe un dispositif assez simple pour la collecte et le don de vêtements usagés via des containers disposés un peu partout dans les rues. La vente des vêtements sert ensuite à financer des actions humanitaires. Mais de plus en plus de petits malins en profitent pour se remplir les poches en placants des bennes illégales. Le produit de leur récolte est destiné à la revente à un prix compris entre 300 et 1000 euros la tonne... L’an dernier la mairie de Munich a ainsi fait enlever 300 containers illégaux.

Isabelle Hartmann s'est penchée sur le problème à Munich, où 300 bennes sauvages ont été recensées en 2008.

Turkey's Islamic Prime Minister Necmettin Erbakan smiles during a news conference in Parliament on Monday, March 3, 1997 in Ankara. Erbakan indicated he might defy the military's sharp call to keep Turkey secular. Two days earlier, the National Security Council, which includes top generals and the president, held an extraordinary meeting and served notice to Erbakan s government that it must stand guard against radical Islamic enroads. Erbakan, who as premier sits on the council, signed a Council statement in support of secularism. But he has resisted implementing the council's directives. (AP Photo/Burhan Ozbilici)
L'ancien premier ministre turc Necmettin ErbakanImage : AP

En Turquie, un ancien chef de gouvernement, Necmettin Erbakan, s’est retrouvé au coeur d’un scandale lié à l’aide humanitaire. L’affaire remonte au conflit en ex-Yougoslavie. Une partie de l’aide récoltée alors par les Turques pour venir en aide aux musulmans bosniaques semble bien n’être jamais parvenu à destination.

Par Jerôme Bastion

Egalement dans cette émission : Le Minitel n’est pas mort !

Minitel Thomson csf de 1983. collection France Telecom.
26 ans après son apparition en France, le Minitel revient à la modeImage : picture-alliance / maxppp

Malgré le développement de la micro informatique et d’Internet, et bien qu’il ne soit plus proposé par France Télécom, le Minitel n’a pas encore dit son dernier mot. Utilisé par près de 25 millions de personnes en 2000, le Minitel propose aujourd’hui encore près de 4000 services télématiques, et reste apprécié par de nombreux professionnels pour sa robustesse, sa simplicité et son coût modique.

Un reportage de Laurent Berthault.

Sortir en Europe : L'Affordable Art Fair à Bruxelles

Après Londres, New York, Sydney Amsterdam et Paris, l'Affordable Art Fair s'installe à Bruxelles. Cette Foire, dont le but est de « rendre l'art contemporain accessible à tous », propose des oeuvres vendues 100 à 5 000 euros. L'AAF, qui compte 20.000 visiteurs à chaque édition, est également un lieu de rencontre entre galeristes, jeunes artistes et grand public, avec ateliers et démonstrations à l'appui.

Par Jessica Jouve

Chronique media : La presse ukrainienne en crise

La grave crise qui touche les médias à Kiev a conduit plusieurs titres bien installés à mettre la clé sous la porte, alors que d'autres ont connu de drastiques réductions d'effectifs. Des phénomènes parfois doublés d’une forte reprise en main éditoriale par les oligarques propriétaires de certains titres, la pression augmentant à mesure que se rapproche le scrutin présidentiel, prévu fin 2009.

Par Camille Magnard.