Gronde sociale au Cameroun
14 mars 2016Publicité
Cette affaire lance une polémique sur la prise en charge des malades au Cameroun et illustre plus généralement l'ambiance qui prévaut dans le pays. Certains manifestants brandissaient des banderoles sur lesquelles on pouvait lire, "Y a en marre. Trop de pauvres tués dans les hôpitaux" ou encore "Plus jamais de Koumateke Monique" du nom de la femme enceinte décédée.
La réaction de Maître Alice Nkom, avocate camerounaise et militante des droits humains. Elle est interrogée par Henri Fotso