La survie des brasseurs allemands
2 avril 2009L’art de brasser la bière repose sur une quantité de réactions chimiques et biologiques, une véritable science que l’on peut étudier… à Munich, la capitale de la bière. Le département de « Technologie de brasserie » de l´université munichoise, le meilleur au monde en la matière, publie régulièrement le résultat de ses recherches dans les revues scientifiques. Une manne pour toutes les petites et moyennes brasseries d´outre Rhin, qui n´auraient pas les moyens de financer elles mêmes ces recherches. Et le départ à la retraite du professeur qui dirige actuellement ces travaux inquiète plus d´un brasseurs allemand.
Un reportage d´Isabelle Hartmann
Également dans cette émission : La scolarisation des enfants roms
En région parisienne, dans le département des Yvelines, certaines municipalités refusent, en toute illégalité, de scolariser les enfants roms à l’école primaire. C’est le cas de la municipalité de Chanteloup-les-Vignes, une petite ville de 9000 habitants. Du coup, ces enfants, qui vivent avec leurs parents sur un terrain vague situé sur le territoire de la commune de Chanteloup, sont scolarisés dans d’autres communes du département. Un reportage de Catherine Potet.
En Roumanie, une école de Bucarest et la Fondation « Save the children » oeuvrent pour améliorer la scolarité des jeunes roms. Un projet à la fois éducatif et social, mais qui se heurte à l’absentéisme des enfants.
Ileana Taroi de Radio Roumanie Internationale a rencontré l’équipe pédagogique
La République tchèque a aboli, en 2004, les écoles spéciales pour tziganes, héritées du communisme. Pourtant la ségrégation à l'école n'a pas disparu, loin s'en faut, pour les 200 000 Roms du pays, souvent exclus par le classicisme et la rigidité du système scolaire.
Par Christine Dupré.
Chronique livre : Irwine Welsh, Glu
Situé à Edimbourg, le quatrième roman d’Irwine Welsh, Glu, nous fait parcourir, à travers le récit d’une amitié, trente ans de culture urbaine, musicale et sociale, des années 70 à nos jours. Une chronique de Maya Szymanowska