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Edem Kodjo, envoyé spécial de l'UA, optimiste

Bob Barry, Richard Tiéné (à Ouagadougou)5 novembre 2014

Le Burkina attend pourtant toujours la désignation d'un chef de la transition. Depuis la chute du président Compaoré, les acteurs politiques, sociaux et militaires peinent à former un gouvernement civil de transition.

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Proteste nach Militärputsch in Bukina Faso 02.11.2014
Image : Issouf Sanogo/AFP/Getty Images

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À Ouagadougou, les dernières tractations qui ont eu lieu entre l'opposition, les organisations de la société civile et le lieutenant-colonel Isaac Zida semblent pourtant déboucher sur "une période de transition constitutionnelle" dont on ignore encore la durée totale. Pour Edem Kodjo, ancien Premier ministre togolais et envoyé spécial de la présidente de la Commission de l'Union africaine, l'espoir d'une sortie de crise politique est pourtant envisagable. C'est la raison pour laquelle, selon M.Kodjo, que le Conseil de Paix et Sécurité de l'UA a accordé un delai de 15 jours aux autorités militaires pour transférer le pouvoir aux civils. Vous pouvez l'écouter en cliquant sur le lien ou l'image.

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Dans la recherche d'une solution à cette crise au Burkina, s'il ya un homme qui est beaucoup sollicité en ce moment, c'est bien le Mogho Naaba, l'empereur des mossé. Quel est l'influence de cet empereur sur la société burkinabé et sur les hommes politiques ? Pacéré Titenga, avocat et homme de lettres a beaucoup écrit sur le mode de gouvernance du Mogho Naaba. Il répond à Richard Tiéné notre correspondant à Ouagadougou.