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Désaccords au Gabon

Gérauds Wilfried Obangome
10 mai 2017

Initié par le président Ali Bongo, les travaux du dialogue politique sont à mi-parcours. Bien qu'ils suscitent l'adhésion de plusieurs membres de l'opposition, il ne semble pas porter les résultats escomptés.

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Gabun Still aus einem Video zeigt Gabuns Präsidenten Ali Bongo bei einem Interview in Libreville
Image : Reuters/Reuters TV

'Le Sénat et la Cour constitutionnelle posent problème' - MP3-Stereo

Au total 55 partis politiques opposition et majorité confondus participent au dialogue initié par Ali Bongo.De commun accord, les participants ont decidé de prolonger les discussions de deux semaines tant que les rapports, qui devront en découler, n'auront pas retrouvé l'assentiment de tous les Gabonais.

Points de blocage

Selon le Révérend Mike Steeve Jocktane (membre de l'opposition), la  Commission nationale électorale autonome et permanente (CENAP) pose problème. Il en est de même pour d'autres instances comme la Cour Constitutionnelle ainsi que le rôle du ministère de l'Intérieur pendant les élections.

La facilitation reste la seule garante de la bonne conduite du dialogue mais ce n'est pas à elle que revient la tâche de trancher, à en croire Claver Maganga Moussavou.

L'épuisement total des discussions et consensualité des décisions constituent les fondements d'une communication future efficiente et sereine, a souligné, pour sa part, Mr. Eric Dodo Bounguenza le co-rapporteur adjoint du dialogue politique. La fin du dialogue est prévue pour le 25 mai 2017.

 

Cliquez sur l'image pour écouter les explications de notre correspondant à Libreville Gérauds Wilfried Obangome